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Histoire d’une fausse accusation

Contradiction 4

Médecin trompé


Peu après notre rupture, l’accusatrice a démissionné du travail, soit le 25 juillet 2000. Nous avions trouvé un terrain d’entente pour qu’elle finisse certaines tâches administratives avant le 15 août.


Or, elle a envoyé un certificat médical fait par un premier médecin le 28 juillet. Voyons ce que déclare ce médecin dans sa déposition à l’instruction:




Notez bien cette date du 28 juillet, ainsi que le fait qu’il avait déjà reçu en consultation l’accusatrice. Il poursuit:




donc 3 jours après l’arrêt de travail daté du 28 juillet, l’accusatrice aurait reçu la visite d’un inspecteur de l’assurance maladie envoyé à ma demande, soit le 31 juillet. Et ce médecin la croit et conclut explicitement que je l’avais contrainte professionnellement.


Or, doutant pour des raisons précises de la véracité de son arrêt maladie - elle a demandé à louer un cabinet dans nos locaux pour recevoir des patients alors qu’elle était censée être en dépression! - j’ai bien écrit à l’assurance maladie, mais nettement plus tard, soit le 12 août. A la fin de cette audience, j’ai écrit à l’assurance. Qui m’a répondu par fax, sur lequel figure la date de réception de ma demande, puis, annotée à la main, la date effective de la visite d’un inspecteur:






La mission a été réalisée le 22 août 2000, soit 3 semaines après la date indiquée par l’accusatrice à son médecin! Elle a donc tenté de tromper son médecin à fin juillet en inventant un inspecteur fictif, sans savoir qu’un vrai allait venir 3 semaines après. Et elle a assuré à l’instruction qu’elle n’avait reçu qu’un seul inspecteur, soit celui qu’elle avait inventé à fin juillet.


Son but à ce moment? Tenter une action aux Prudhommes contre moi, en prétextant qu’elle subissait des contraintes professionnelles abusives, comme le déclare ce médecin ci-dessus. Et donc de recevoir des dommages et intérêts ou le versements de salaires soi-disant impayés.


Tous les témoignages concordent: à l’été 2000, l’accusatrice ne parlait que d’argent et de Prudhommes. Ce n’est qu’après l’échec de cette démarche - j’avais tout fait dans les règles, rien ne pouvait m’être reproché - que l’accusation d’abus sexuel est apparue... Cherchez l’erreur!


Ce médecin confirme cela: c’est ce qu’elle lui a raconté PLUS TARD, soit bien après avoir prétendu une contrainte professionnelle.


Enfin, elle prétend avoir été totalement addicte des stupéfiants, ce qui justifierait aussi le diagnostic borderline de son expert. Or, quand je l’ai connue, elle fumait en effet 2-3 joints par jour, sans excès, et je l’ai aidée à diminuer à un joint par jour. Son même médecin, qui l’avait déjà reçue auparavant pour d’autres raisons de santé, dit:





Et voilà. Mais, bien sûr, c’est moi que l’on traite de manipulateur...


Autre info intéressante de ce médecin qui connaissait l’accusatrice depuis longtemps: