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Histoire d’une fausse accusation

Hommes victimes

Les hommes, des victimes?


Voilà un sujet tabou! Politiquement incorrect. Impossible. Mensonge. (Rires dans la salle: “Des hommes victimes... pffff...”).


Et pourtant. Je vais tenter une petite synthèse de la question. Elle demandera à être développée, elle l’est sur différents sites et ouvrages. Voici donc quelques pistes de réflexion.



Pourquoi les hommes victimes ne parlent-ils pas?


Peur du ridicule, c’est culturellement incorrect dans les schémas masculins que les mères et les pères ont transmis.


Peur de réagir aussi par la violence (envers leurs conjointes violentes, par exemple), et d’être alors considérés comme les agresseurs. Peur que dans ce cas ils perdent tout: maison, enfants, argent, etc, car la justice croit à priori les femmes. Et puis, même agressés, très peu d’hommes veulent frapper une femme.


Parce qu’ils sont habitués à recevoir des coups, c’est viril, c’est normal (bagarres, compétition, etc). Donc: Ils n’identifient pas cela comme de la violence.


Les hommes n’ont pas la culture de la victime.


Ils ont l’habitude de jouer le mauvais rôle (ex: la mère est tendre avec les enfants, le père est sévère et punit).


Certains sont clivés culturellement: ils n’arrivent pas à être à la fois autonomes et victimes, forts et souffrants.


La souffrance masculine n’est pas entendue, même elle dérange. Les hommes doivent être calmes, stables, et tout encaisser sans états d’âmes.


La police ne les prends pas au sérieux, ou considère que la violence féminine est une légitime défense (thèse défendue dans certaines études de genre, vous savez, ces études infiltrées par des marxistes recyclé-e-s où l’homme est un salaud de patron et la femme une pauvre prolétaire).


L’habitude de protéger, d’aller à la guerre, leur interdit de se voir en victimes.


Le réflexe culturel de prendre la femme en pitié et l’homme en ennemi est largement répandu.



De quoi peuvent-ils être victime?


D’abus sexuels de la part du père ou de la mère dans l’enfance.


De maltraitance de tous ordres dans l’enfance, d’où des risques de passage à l’acte une fois adulte.


De violence physique de la part de leur conjointe, y compris sexuelle. Morsures, coups de poings, lancer d’objets (cendriers, fer à repasser, etc), coups de ciseaux, cassages d’objets précieux, sont les plus fréquents.


De dénigrement, de déni, d’insultes, d’injures, cela même à répétition.


Des fausses accusations, ce viol moral où les femmes ont quasi 100% d’impunité.


De ruptures sans prévenir qui les laissent sur le carreau (80% des divorces sont demandés par les femmes).


D’être juste considérés comme des pourvoyeurs (5% à 15% d’hommes, en occident, ne sont pas les pères biologiques de leurs enfants et ne le savent pas, au point où les USA et le Canada autorisent les test ADN faits uniquement par le père).


D’être traités d’autistes émotionnels, de ne pas être au pieds de leur conjointe, de ne pas tout faire comme elles le veulent. Victimes des schémas sociaux, de leur éducation réductrice (un homme ne pleure pas, un homme c’est toujours fort, etc).


D’être rendus responsables collectivement d’avoir dominé les femmes depuis 10’000 ans (ce qui est faux historiquement et représente une analyse très biaisée du patriarcat).


D’être mis sous contrôle par leur conjointe (hé oui, tous les hommes ne réagissent pas à cela).


Du sexisme anti-hommes (la misandrie) qui sévit largement en ce début de siècle.


Les hommes sont morts par millions sur les champs de bataille pour protéger leurs familles et leur terre; ils sont partis par millions émigrer pour nourrir leur famille. Ils ont été esclaves des dominants (hommes ou femmes) depuis la nuit des temps. Et aujourd’hui, ils seraient juste des salaud, auraient tout faux, n’auraient cherché qu’à dominer leurs compagnes et les rendre esclaves? Attendez, on va où là comme ça?


Voilà pour le moment. Je développerai ou rajouterai les infos que vous m’enverrez.