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Histoire d’une fausse accusation

Résumé de l’affaire


La cible de cette fausse acusation, auteur du livre "La femme est-elle vraiment l’avenir de l’homme?", a vécu une relation de 18 mois avec une femme plus jeune, très enthousiaste, dynamique, une battante. Elle étudiait et travaillait avec lui.


Lors de vacances en Australie, elle rencontre un autre homme. Trahison, banale à pleurer. Au retour, elle met abruptement fin à leur relation. Elle quitte le travail également, donnant sa démission pour trois semaines plus tard. Puis se fait porter malade. Elle pensait avoir droit à l'assurance maladie professionnelle. Ce n'était pas possible au vu du délai de latence de 30 jours, de la date prévue de sa démission, et parce qu'elle s'est faite porter malade après sa démission. Elle n'avait juridiquement aucun droit à ce subside. Elle s'est pourtant mise en tête que cet argent lui était soustrait, a essayé d'obtenir des témoignages dans ce sens, a tenté d'aller au Prud'hommes - sans succès. C'est ensuite qu'elle a construit sa plainte pénale, assistée par une copine en particulier qui l’a “aidée” à construire une chronologie supposée vraie.


Etait-elle malade psychiquement? Ou a-t-elle tout inventé pour des raisons mystérieuses? Elle avait eu certes quelques difficultés dans sa jeunesse, mais avait semble-t-il pris le dessus. Elle avait entraîné une équipe de natation en compétition, avait tenu seule pendant des mois une école primaire et un dispensaire en Thaïlande, avait voyagé à travers le monde: rien d'une personne psychiquement malade. La maladie, l'irresponsabilité, est ce qui sera mis en avant à mesure que le dossier se démontait à l'instruction.

Tout cela figure dans le dossier et dans les déclarations de plusieurs témoins.


Un an après que leur relation soit terminée, elle dépose une plainte pénale pour abus sexuel... La juge d'instruction l'entend le 17 mai 2001. Le 21 mai au matin, sans enquête préliminaire (elle avait pourtant des éléments pour la faire) elle débarque chez l'auteur avec une douzaine de personnes (oui, autant, comme pour un grand criminel): procureur, greffière, et policiers en civils. Perquisition au bureau et au domicile, sans rien trouver d'intéressant, puis incarcération après 8 heures d'interrogatoire. Si cette juge d'instruction avait fait son travail correctement, elle aurait trouvé des lettres et photos de l’accusatrice qui montraient tout le contraire de sa plainte, et l'affaire aurait été classée très vite.

 

Après des mois d'une instruction à charge, la juge d'instruction est démise du dossier. L'auteur avait demandé sa récusation. Sous sa responsabilité, des mensonges, des fautes, ont été commis.

 

Cinq ans d'instruction, où l'un après l'autre les contradictions de l’accusatrice sont démontées, par des preuves matérielles et écrites, des témoignages, et des rétractations de sa part.

 

Résumé de l’affaire

Comment abattre un homme?

Trop facile...


  1. Puce  Déposez une fausse accusation de viol

  2. Puce  Préparez quelques témoins en déformant après coup la réalité

  3. Puce  Trompez vos médecins, déformez encore

  4. Puce  Présentez-vous comme une victime incapable de réagir

  5. Puce  Ajoutez la magie noire ou un délire équivalent

  6. Puce  Surfez sur la vague actuelle: tous les hommes sont des salauds



Les juges sexistes et aveugles n’y verront que du feu.

Votre cible se retrouvera sur la banc d’infamie sans savoir ce qui lui arrive...




Comment une femme peut-elle faire une fausse accusation?


De la première juge d’instruction jusqu’à l’expert psychiatre, personne ne vérifie rien, personne ne pose les bonnes questions, personne ne se déjuge. Ils s’emboîtent tous à partir du premier biais commis dans ce dossier. Tout le monde croit l’accusatrice à priori. Tous plongent dans une attittude de protection et de paternalisme envers elle. Tous bafouent allègrement la présomption d’innocence. Mais pourquoi?


Parce qu’elle semble particulièrement persuasive (elle a poussé médecins et psychologue et une juge d’instruction à la faute) et qu’elle s’est peut-être elle-même persuadée d’être une victime (voir page Rêve).


Parce qu’elle a un caractère fort et qu’elle s’est enragée dans cette affaire, persuadée d’être lésée financièrement bien avant de parler d’abus.


Parce que le courant féministe victimaire a contaminé les tribunaux.


Parce que la dictature de l’émotion a contaminé les tribunaux et la société.


Parce que le culte de la victime a contaminé les tribunaux.


Parce que je suis un homme.


Parce que je suis une bonne cible de par ma profession et mon engagement qui a parfois dérangé l’establishment.


Parce que les préjugés anti-hommes se déchaînent.


Parce qu’une femme peut être une criminelle comme n’importe qui; on ne se demande pas pourquoi un braqueur peut aller jusqu’au bout.


Parce que les femmes qui accusent faussement savent très bien que les tribunaux leur accordent l’impunité.


Parce qu’elle est coachée et instrumentalisée par une avocate casseuse d’hommes.


Parce qu’une juge de Genève déclarait dans une interwiew au Temps: “Nous partons du principe que les femmes qui accusent sont de bonne foi”, affirmant ainsi la partialité crasse et la misandrie ouverte des magistrats, et donnant un signal pervers aux fausses accusatrices.


Parce que personne n’ose imaginer qu’une femme qui accuse faussement, se parant de l’image de l’angélisme, le fait par vengeance ou pour de l’argent (ou pour la garde exclusive des enfants quand une fausse accusation est faite pendant ou après un divorce).


Parce que les fausses accusations sont devenues si nombreuses (voir page Fausses accusations) que personne ne s’en étonne plus.